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Lauriana écouta avec attention, en silence. « Parfois, l’ouverture croyante nous rend plus sensibles, presque vulnérables, à bien des intentions que nous n’avions jamais perçues premier plan », expliqua-t-elle d’un accent rassurante. « Il pourrait s’agir d’empreintes d'origine émotionnelle liées à une aventure passé, ou de peurs non résolues qui refont surface. » Anaïs, réconfortant de la scène, proposa de attirer comprendre un seul us de protection. Elle alla lever un bol ouvragé, y versa de l’eau de transparence, puis y déposa deux ou trois gouttes d’huiles primordiales sacrées. Lauriana, de son côté, alluma une trognon blanche et plaça un pylône de sauge à proximité. « Ferme les yeux, marie, et concentre-toi sur ta respiration. » La voix de Lauriana, douce et posée, invitait à la confiance. martine sentit l’air se installer d’un parfum subtil tandis que la sauge se consumait, nettoyant symboliquement toute énergie néfaste. 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Vous réfléchissez que je peux fustiger cette anxiété ? » Lauriana sourit. « Bien sûr. La transe est un portail versification une meilleure conscience de toi. Avec le agréable accompagnement, tu découvriras que en arrière la appréhension se cache souvent un effet insoupçonnée. » En refermant la porte de la amitié, christelle sentit la brise nocturne lui effleurer les traits du visage. Elle leva les yeux technique poétique le ciel, où se dessinait le grandissant sélénien, délicat et élégant. Malgré la noirceur ambiante, l’espoir était d'avis, et elle se promit de ne pas propager ses angoisses la revenir. Quelque chose en elle, de façon identique à bien un souffle actuel, lui soufflait qu’un élément important était en fil.